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EPEIRE Epeire diadème : Araneus diadematus Epeire diadème : Araneus diadematus (nid) Epeire fasciée : Argiope bruennichi Epeire carrée : Araneus quadratus Epeire carrée : Araneus quadratus Epeire des roseaux : Larinioides comutus Epeire des ponts : Larinioides sclopetarius Araignée courge : Araniella cucurbitina Araignée courge : Araniella cucurbitina Pisaure admirable : Pisaura mirabillis Pisaure admirable : Pisaura mirabillis Pisaure admirable : Pisaura admirabillis (nid et juvéniles) Tibellus : Tibellus oblongus (avec proie) Dolomedes (plantarius à certifier) Dysdera crocata Dysdera crocata (identification a certifier) Agelena labyrinthica Agelana labyrinthica Meta segmenta Meta segmenta Meta segmenta Tetragnatha extansa Tetragnatha extansa Tetragnatha extansa avec une proie Tetragnatha montana Tégénaire Tégénaire Araigné loup Pardosa amentata Pardosa amentata (avec juvéniles) Araignée sauteuse Marpissa muscosa Salticus scenicus Araignée crabe Thomise verte : Misumenops tricuspidatus Thomise blanche : Misumena Thomise : Diaea dorsata Thomise : Misumena vatia Thomise Napoleon : Synema globosum Xysticus Xysticus .sp Acariens Acarien velouté : Eutrombidium rostratus Acariens sur la dépouille d'un coléoptères Tique : Ixolida Les Faucheux Faucheux :phalangium opilio Odiellus spinosus Les Pholcidae Pholque phalangide : Pholcus phalangioides |
P'tit Cours Les araignées ou aranéides (ordre des Araneae) sont des arthropodes de la classe des arachnides, avec huit pattes, sans ailes ni antennes, des yeux simples, et qui typiquement produisent de la soie. L'étude scientifique des araignées se nomme l'aranéologie. La peur irrationnelle des araignées se nomme l'arachnophobie, une des phobies les plus communes Les araignées sont des prédateurs. Elles se nourrissent exclusivement de proies vivantes qu'elles capturent souvent à l'aide de toiles, bien que de très nombreuses espèces préfèrent la chasse à l'affût. Comme tous les arachnides, l'araignée n'absorbe que des liquides: elle doit donc liquéfier ses proies avant de pouvoir s'en nourrir. Les glandes séricigènes produisent de la soie filée par de petites protubérances articulées (les filières), le plus souvent au nombre de 6, situées sur la face ventrale plus ou moins à l'extrémité de l'abdomen. La soie est liquide dans les glandes, mais se solidifie en fibrilles une fois sortie par les fusules, sous l'effet de la traction exercée par les pattes de l'animal. Le fil de soie est en fait constitué par un entrelacement d'un nombre élevé de fibrilles élémentaires, de 0.05 µm de diamètre chacun. Le diamètre du fil de soie varie entre 25 et 70 µm (à diamètre équivalent, ces fils sont plus durs que de l'acier et possèdent une mémoire de forme 5 à 12 fois plus grande que le latex). Les araignées produisent plusieurs types de soie en fonction de l'usage qu'elles vont en faire. La soie collante n'est qu'un des types existant. Principaux usages de la soie :
On considère que l'usage initial de la soie était la fabrication du cocon pour protéger les œufs car les araignées considérées comme primitives ne tissent pas de toile. Le moyen de défense le plus répandu est la morsure, qui pour la plupart des espèces n'est pas un danger notable pour l'homme. Quelques mygalomorphes ont également développé un système urticant. Il y a deux chélicères à l'avant du corps et qui encadre la bouche : sont ces appendices qui injectent du venin. Elles sont constituées d'un gros stipe et d'un crochet mobile au bout duquel débouche le canal à venin. Presque toutes possèdent des glandes à venin mais seulement de très rares araignées sont véritablement dangereuses pour l’homme, et très rarement mortelles. Parmi ces espèces dangereuses, citons la Veuve noire (Latrodectus mactans) présente dans les régions chaudes. Les chélicères peuvent aussi servir à transporter des proies, à les dilacérer, à transporte le cocon ovigère, etc À la différence des insectes, les araignées se constituent de deux parties: le céphalothorax ou prosome (la fusion entre la tête et le thorax) et l'abdomen. L'abdomen porte les filières ou organes qui produisent la soie, et, sauf chez quelques taxons primitifs, n'a pas retenu les segmentations externes. À l'extrémité du céphalothorax sont les pédipalpes, organes sensoriels pour l'examen des proies et leur manipulation. Chez les adultes mâles, l'extrémité du pédipalpe porte aussi le bulbe copulateur. Les deux parties sont reliées par un fin pédoncule, qui est le dernier somite (segment) du céphalothorax. Ce somite a été perdu chez les autres arachnides, n'étant présent, par exemple, qu'à l'état embryonnaire chez les scorpions. Le céphalothorax porte sur sa face ventrale quatre paires de pattes articulées disposées autour du sternum. Chaque patte se compose de 7 articles : de la base vers l'apex respectivement, on observe une hanche (coxa), un court trochanter, un long fémur, une plus courte patelle, un long tibia, un métatarse et un tarse. Ce dernier se termine en 2 ou 3 griffes, lesquelles interviennent dans la manipulation de la soie et dans le déplacement sur la toile. Sont associés aux pattes diverses structures liées au mode de vie particulier de chaque taxon, que ce soit des peignes pour "carder" la soie, des épines, crins, poils.qui servent d'organes sensoriels, des structures de stridulation. Les yeux simples, placés à l'avant du céphalothorax, sont souvent au nombre de 8, mais variant fortement selon les taxons (certains n'ont pas d'yeux). La disposition oculaire, souvent un trait distinctif, est propre au taxon. Parfois une paire d'yeux est plus développée que les autres, qui alors ne détectent que des vibrations autour de l'araignée. La vision est généralement mauvaise, bien que certaines espèces activement chasseuses aient développé une très bonne vision. Les araignées ont un système circulatoire ouvert. Leur corps est rempli d'hémolymphe, qui est pompée par le cœur aux organes. Les araignées respirent soit par des poumons en feuillets, soit par un système trachéen, soit, chez quelques petites espèces, directement à travers la peau
Comme tous les arthropodes la croissance se fait par mues successives de l'exosquelette. Selon les espèces, il y a de 8 à 13 mues pour atteindre l'état adulte. Les mygales continuent de muer à peu près une fois par an après l'âge adulte. Le dimorphisme sexuel des araignées est généralement faible, les femelles se distinguent par une taille supérieure, un abdomen plus gros. Les mâles adultes se reconnaissent en plus de leur petite taille à leurs pédipalpes qui portent à leur extrémité un organe de stockage de sperme appelé bulbe copulatoire. La différence de taille est parfois spectaculaire, comme chez les Néphiles où il est difficile de croire qu'il s'agit de la même espèce. Les araignées sont ovipares, elles pondent des œufs, qui sont empaquetés dans un cocon de soie. En fonction de la taille de l'espèce le nombre des œufs varie de un à plusieurs milliers. Si certaines espèces abandonnent le cocon d'autres le transportent accroché aux filières ou maintenu par les chélicères. Chez ces dernières espèces, dès leur éclosion, les jeunes montent sur le dos de leur mère qui les protège et les nourrit jusqu'à ce qu'ils soient capables de se défendre. Beaucoup d'espèces ont une parade nuptiale élaborée consistant surtout pour le mâle à se faire distinguer d'une proie pour éviter d'être dévoré. Le cannibalisme nuptial systématique de la veuve noire (Latrodectus mactans) ou de l'argiope (Araneus diadematus) est peu répandu. Le mâle tisse une toile spermatique où il dépose son sperme qu'il aspire ensuite dans ses bulbes copulatoires. |
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EPEIRES |
L'Epeire diadème dont le nom scientifique est Araneus diadematus, est une espèce d'araignées que l'on rencontre communèment en Europe Elle est facilement reconnaissable au dessin en forme de croix, de couleur claire, que l'on trouve sur son abdomen, qui lui est de couleur brune. Les deux sexes de l'espèce ont un aspect assez différent, principalement au niveau de la taille. Ainsi, les individus mâles font moins d'un centimètre alors que les femelles peuvent atteindre deux centimètres et ont un abdomen plus volumineux, de forme arrondie. Une autre de ses particularités est la création de toiles de dimensions très importantes par rapport à sa propre taille, puisqu'elles peuvent atteindre 50 cm. La toile est refaite tous les jours, en effet l'épeire ne sait pas réparer sa toile, elle est donc obligée de la recommencer tous les matins. |
Epeire diadéme : Araneus diadematus |
Epeire diadéme : Araneus diadematus : mâle et femelle photo de droite |
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Epeire diadème : Araneus diadematus (nid) |
Epeire diadème : Araneus diadematus (nid) |
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Les argiopes (genre Argiope) sont des araignées aranéomorphes de la famille des Araneidae, à large distribution. Elles ont typiquement des dessins abdominaux de couleur dominante noire et jaune. Le mâle est d'ordinaire beaucoup plus petit que la femelle. Pour rester cryptique sur sa toile (où elle passe d'ailleurs la majorité de son temps), elles joignent leurs pattes deux par deux, ce qui lui vaut le nom vernaculaire anglais de "cross-spider" ("araignée en croix"). |
Epeire fasciée : Argiope bruennichi |
Epeire fasciée : Argiope bruennichi |
Epeire fasciée : Argiope bruennichi |
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L'épeire carrée ou épeire à quatre points (Araneus quadratus) est une espèce d'araignée de la famille des Araneidae, communément rencontrée en Eurasie. Les femelles peuvent atteindre 17 mm de longueur avant la ponte, les mâles mesurent environ la moitié de cette taille. L'espèce est particulièrement variable en apparence : sa couleur va du brun à l'orangé en passant par les tons de verts. Cependant les taches blanches sont toujours présentes sur l'abdomen. Les pattes ont parfois des rayures colorées. L'araignée vit dans les jardins et les zones boisées. Elle tisse sa toile près du sol afin de capturer des insectes sauteurs comme de petites sauterelles. Elle comporte de 11 à 29 rayons et peut avoir 60 cm de diamètre. La toile de la femelle est plus élaborée que celle du mâle : elle comporte à sa marge une cachette en forme d'entonnoir où elle se réfugie en cas de mauvais temps. Cette araignée, assez courante, voire abondante, peut attraper jusqu'à 500 insectes par jour. L'accouplement a lieu généralement en septembre. Les œufs sont emballés dans un cocon de soie isolante qui leur permet de passer l'hiver à l'abri du gel |
Epeire carrée : Araneus quadratus |
Epeire carrée : Araneus quadratus |
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Epeire carrée : Araneus quadratus |
Epeire carrée : Araneus quadratus |
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Epeire des roseaux : Larinoides comutus |
Epeire des roseaux : Larinoides comutus |
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Epeire des ponts : Larinioides sclopetarius |
Epeire des ponts : Larinioides sclopetarius |
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Araigné courge : Ariena cucurbitina |
L'araignée courge est aussi appelée épeire concombre. Elle a été décrite à l'origine comme une espèce du genre Araneus. Commune dans les régions tempérées d'Eurasie, on la trouve dans les parcs et les jardins (en particulier sur les lilas et les rosiers), dans les buissons, à la lisière des forêts. Son abdomen est vert pistache avec 4 points noirs sur les côtés, ce qui permet de la distinguer de ses cousines. Sa taille est d'environ 7 mm pour les femelles, 5 pour les mâles. Les adultes portent une tache rouge à l'extrémité inférieure de l'abdomen. Le camouflage de l'araignée courge change avec la couleur de la végétation. À leur naissance, en automne, les jeunes sont de couleur rouge brique puis virent au brun sale pendant l'hiver. La coloration verte apparaît au printemps, à l'âge adulte. Sa toile, géométrique mais de forme irrégulière,a une dizaine de centimètres de diamètre. Elle comporte entre 15 et 30 rayons. L'araignée se tient généralement au milieu dans l'attente d'une proie. Le mâle ne s'approche de la femelle que pour l'accouplement. Il doit disparaître rapidement après la fécondation pour éviter d'être dévoré par sa partenaire dont les besoins alimentaires augmentent lors de la ponte. Lorsque la nourriture est abondante ce phénomène est plus rare |
Araignée courge : Ariena cucurbitina |
Araignée courge : Ariena cucurbitina |
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Pisaure admirable : Pisaura admirabillis |
La pisaure admirable (Pisaura mirabilis) est une araignée chasseuse de la famille des Pisauridés. de l'ordre des aranéides. Elle ne tisse pas de toile pour capturer ses proies mais se nourrit en les chassant dans les herbes basses. Pour se faire reconnaître, le mâle présente à la femelle, une proie morte enrobée de soie et, probablement, imprégnée par les phéromones.de la femelle. L'accouplement dure environ une heure, pendant que la femelle consomme le présent qui lui a été fait. Quelques temps plus tard, la femelle pond les œufs dans un cocon qu'elle transporte à l'aide de ses pattes-mâchoires durant le temps de la maturation des œufs. Une fois proche de l'éclosion, elle fixe le cocon à des herbes basses. Elle fabrique alors une « pouponnière » de soie, sorte de cloche de soie dans les herbes, où les jeunes vont demeurer. Elle reste à proximité de cette cloche durant les premières phases de développement des jeunes, cloche qu'ils ne quittent qu'après leur seconde mue, lorsqu'ils deviennent capables de chasser et se nourrir. La femelle mesure de 10 à 15 mm, le mâle 10 à 12. La coloration générale varie du gris au brun. Le céphalothorax comporte une large bande longitudinale sombre avec au milieu une ligne blanche ou jaune terminée vers l'avant par une touffe de poils. Une trainée claire très nette part des yeux latéraux vers l'arrière. L'abdomen est de couleur très variable et plus claire sur les côtés, le folium sombre a un contour ondulant plus nettement délimité chez le mâle que chez la femelle. |
Pisaure admirable : Pisaura mirabillis |
Pisaure admirable : Pisaura asmirabillis |
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Pisaure admirable : Pisaura admirabillis |
Pisaure admirable : Pisaura admirabillis photo à gauche juvéniles sortis du cocon, photo de droite le cocon est visible |
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Tibellus : Tibellus oblongus |
Tibellus : Tibellus oblongus |
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Dolomedes (plantarius à certifier) |
Dolomedes (plantarius à certifier) |
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Dysdera crocata ( identification a certifier) |
Dysdera crocata ( identification a certifier) |
Dysdera crocata |
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Agelena labyrinthica |
Agelena labyrinthica |
Agelena labyrinthica |
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Meta segmenta |
Meta segmenta |
Meta segmenta |
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Meta segmenta |
Meta segmenta mâle et femelle |
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Tetragnatha extansa |
Les Tetragnathidae sont une famille d'araignées aranéomorphes au corps allongé et à l'abdomen au reflet métallique. Elles tissent une toile orbitèle (ce qui rappelle les Araneidae) caractérisée par un moyeu ouvert, un nombre faible de rayons et une spirale collante relativement lâche. La famille compte environs 50 espèces, qui privilégie les habitats humides (surtout près de l'eau). |
Tetragnatha extansa |
Tetragnatha extansa |
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Tetragnatha extansa |
Tetragnatha extansa avec une proie prise dans la toile |
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Tetragnatha montana |
Tetragnatha montana |
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Tégénaire |
Les tégénaires (genre Tegenaria) sont des araignées aranéomorphes de la famille des Agelenidae, de distribution cosmopolite, de taille entre 5 et 13 cm (pattes comprises) et de couleur brun foncé-noir. Elles présentent des dessin abdominaux fins qui varient en fonction du taxon. On les rencontre très souvent dans les habitations. |
Tégénaire |
Tégénaire |
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Araignée loup |
Pardosa amentata |
Pardosa amentata : sur la photo de gauche on voit le cocon ,qui contient les oeufs sur l'abdomen |
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Pardosa amentata |
Pardosa amentata : sur ces photos les juvéniles restent sur l'abdomen de la mére |
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Araignée sauteuse |
Les Salticidae sont une famille d'araignées aranéomorphes de taille moyenne ou grande. Les espèces de la faune de France mesurent de 3 mm à 22 mm (longueur du corps d'un individu adulte). Les plus grands individus connus dans le monde atteingnent 30 mm (longueur du corps d'un individu adulte). Elles chassent en courant et en bondissant sur leurs proies. Elles ont de petits yeux antérieurs dispoés en ligne droite, et deux yeux postérieurs très gros. Les femelles transportent leurs œufs dans un cocon accroché aux filières ou leurs jeunes sur le dos. |
Salticus scenicus |
Salticus scenicus |
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Marpissa muscosa |
Marpissa muscosa |
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Araignée crabe |
La famille des Thomisidae est un taxon d'araignées aranéomorphes. Plusieurs espèces sont mimétiques de diverses parties végétales (surtout les fleurs), qui leur servent de support pour la chasse à l'affût. Elles ont des pattes antérieure I et II plus fortes et plus longues que les postérieures III et IV et dirigées latéralement, ce qui leur valent le nom vernaculaire d'araignées-crabes. Certaines espèces sont parfois baptisées thomises. |
Thomise : Misumena vatia |
Thomise : Misumena vatia |
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Thomise : Diaea dorsata |
Thomise : Diaea dorsata |
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Thomise blanche : Misumena |
Thomise blanche : Misumena |
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Thomise verte : Misumenops tricuspidatus |
Thomise verte : Misumenops tricuspidatus |
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Thomise Napoleon : Synema globosum |
Thomise Napoleon : Synema globosum |
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Xysticus |
Xysticus (sp) |
Xysticus sp |
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ACARIENS |
Araignée rouge |
L'araignée rouge ou tétranique tisserand est un acarien qui a peu à voir avec les araignées. Le tétranique est un prédateur fréquent en environnement sec (tel que les serres d'horticulture) où il est généralement considéré comme nuisible. Une simple humidification régulière des zones atteintes permet le plus souvent d'éliminer le problème. L'araignée rouge tisse de fines toiles sous les feuilles des végétaux. Elle pond ses œufs sur les végétaux et se nourrit de leur sève, ce qui affaiblit la plante et peut contribuer à répandre les maladies. L'araignée rouge mesure moins d'un millimètre et change de couleur selon la saison. Elle est vert brun en été avec deux points noirs mais vire au rouge à l'approche de l'hiver. |
Acarien velouté : Eutrombidium rostratus |
Acarien velouté : Eutrombidium rostratus |
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Acariens sur la dépouille d'un coléoptère |
Acariens sur la dépouille d'un coléoptères |
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Tique : Ixolida |
Tique : Ixolida : Gorgée de sang photo à droite |
Tique : Ixolida : La vidéo montre une Tique qui dévore une autre Tique |
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Les Faucheux |
Les opilions (Opiliones), mieux connus sous le nom vernaculaire de « faucheurs » ou « faucheux », appartiennent à la classe des arachnides, tout comme les araignées, les scorpions et les acariens. Les opilions se distinguent des araignées par le fait que leur abdomen segmenté et leur céphalothorax sont soudés. Ils possèdent quatre paires de pattes qui sont habituellement longues et fines. Le régime alimentaire des opilions s'apparente à celui des araignées (elles sont carnivores). Contrairement aux araignées, qui ne consomment que le produit de leur chasse, les opilions peuvent se nourrir de cadavres d'insectes et d'autres petits animaux. Les pattes d'opilions se détachent facilement (l'autotomie) et il est fréquent de rencontrer des individus avec moins de huit pattes. |
Faucheux :phalangium opilio |
Faucheux :phalangium opilio |
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Odiellus spinosus |
Odiellus spinosus |
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Pholcidae |
Araignée typique des maisons, elle se reconnaît aisément à ses très grandes pattes . Le Pholque phalangide réside dans les caves, dans les coins des pièces, en haut des fenêtres où il tisse une toileirrégulière. Il s'y tient accroché, les pattes en haut, le corps en bas. |
Pholque phalangide : Pholcus phalangioides |
Pholque phalangide : Pholcus phalangioides |
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